violence policière

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La violence policière vu dans le plan métaphysique.

         Lorsque une chose arrive en excès dans le monde ; l’environnement, symboliquement c’est représentatif d’un manque dans le monde intérieur. Exactement comme la violence policière, Tout excès est la conséquence d’un manque. Le manque est la cause de l’excès. Des qu’on manque de quelque chose on compense en faisant une autre chose excessivement.
C’est la loi de cause à effet.

Violence-policière-non-définitive
La Violence-policière est non-définitive

La question que je me pose en vertu de ce principe universel, c’est pourquoi la violence policière est-elle devenue excessive ? Parce qu’il y a un manque ? Et quel est ce manque ?

Cette violence policière dans l’environnement, le monde extérieur, dérange et fait vivre de la colère. Colère amplifiée par le sentiment d’impuissance à pouvoir empêcher cela. Plus de la colère inconsciente tournée contre soi de ne pouvoir être efficace.
 Alors il convient de rentrer en soi, de se brancher sur les actualités de Ta conscience pour voir ce qu’il se passe dans Ton monde intérieur, ou sont les violences policières en Toi ? Et après qui ces policiers en Toi en ont-ils ?

   La force employée par le gouvernement et les masses dominantes a pour but de contrôler. C’est là qu’elle est la piste ; c’est regarder en soi qu’est-ce que c’est que chacun contrôlons avec une grande force ? Voir avec une violence intérieure ; mentale. En soi cette force mentale du contrôle qui empêche de vivre ce qu’en dedans Tu as a vraiment envie de vivre. Dès la petite enfance jusqu’à la fin de la scolarité on apprend à tout faire par le mental. On apprend ce qu’on nous dit d’apprendre, on apprend ce qu’on nous dit qu’il est bon d’apprendre, mais en n’écoutant pas notre cœur, ni notre intuition, ni nos vrais désirs, et nous prenons l’habitude de contrôler pour ne pas exprimer nos opinions, notre façon de voir les choses, pour ne pas exprimer nos idées propres, pour ne pas nous exprimer avec notre vrai langage personnel, pour ne pas jouer notre propre music le jour de la fête de la musique, pour ne pas chanter avec notre propre voix afin de ne pas déranger l’ordre établi par les conservatoires. Pour ne pas paraître ridicule. Pour ne pas contrarier. Pour ne pas déplaire. Pour ne pas prendre de risques. Pour ne pas être blessé. Pour appartenir à un groupe ; faire comme les autres et ne pas être soi-même. Par peur de la solitude ; contrôler contrôler contrôler.

Se faire violence.
La peur d’oser être soi-même face aux autres par peur de sa propre police intérieure qui est violente.

Si au lieu de regarder avec les yeux de la conscience ordinaire nous regardons ce qui se passent dans le monde physique (qui est une illusion( et qu’en nous disant que c’est le reflet dans le miroir de notre propre plan métaphysique (l’esprit) alors à ce moment-là on commence à nettoyer les mémoires d’agressivité qui remontent à la petite enfance.

La seule vraie cause de la souffrance est de ne pas être soi-même.

Il est là le manque ; ne pas être soi meme !!!!

C’est la première et la deuxième parole de Bouddha : « prends conscience que la souffrance existe et trouve d’où elle vient en toi ». La troisième parole de bouddha c’est : « prends conscience que cette souffrance peut-être transformée, transmutée, guérie ». Et la quatrième parole de Bouddha : « alors cherche quelle est la bonne technique qui convient pour toi pour la guérir ».
Bouddha, Amma, Gandhi… etc. etc…..tous les grands sages nous le disent nous le répètent ; c’est en changeant l’agressivité la frustration la rage la colère la jalousie la honte et la culpabilité qui est en chacun que par résonance quantique le monde changera.
Pas avant.

Explications des causes internes ayant pour conséquence les violences policières externes et comment y réfléchir pour évoluer dignement.
Dom Jeambrun

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